L’été approche expressément, et avec lui, pour les plus chanceux, les longues journées de bronzage à la plage. Le soleil est certes un allié au teint hâlé, mais il comporte également un certain nombre de risques non négligeables qui lorsqu’on les connaît sont largement anticipables.
Les adjuvants que l’on imagine nous protéger tels que les nuages ou dans un autre genre les parasols n’en sont pas réellement.
La solution est donc très simple et très connue de tous : la crème solaire minérale avec indice de protection spf 50 pour commencer.
Quelles sont les modes d’actions des crèmes solaires minérales ?
Contrairement à son homologue chimique, la crème solaire minérale qui protège des rayons ultra violets n’est ni chimique ni organique, mais composée d’éléments naturels tels que le dioxyde de zinc ou encore le dioxyde de titane. Elle a pour spécificité, et ce, encore une fois, à l’inverse de la crème solaire chimique, de ne pas s’engouffrer profondément dans l’épiderme.
Son mode d’action s’apparente à de la réflexion de rayons ultra violets caractérisées par la composition des constituants que sont les dioxydes de zinc et de titane.
À noter également que ces produits sont dénués de perturbateurs endocriniens. Ces amies anti-insolation ont été développées pour amoindrir les maladies de la peau grandissantes ces dernières années ainsi que protéger nos sources d’eau.
Elles sont enfin particulièrement adaptées aux personnes victimes d’allergies ou dotés de peaux fortement sensibles.
À quoi correspondent exactement les indices de protection ?
Le chiffre de protection qui apparaît sur les crème définit le niveau de préservation des rayons ultra violets.
Ainsi, il est vivement conseillé d’opter pour les indices les plus élevés retrouvés dans de nombreux points de vente très variés (pharmacies, supermarchés, boutiques de plage, presse etc.).
On retrouve un panel assez large, ainsi l’indice le plus bas oscille entre les chiffres 6 et 10. Ils caractérisent une protection dites « faible » dont l’usage peut être pertinent en fin de période estivale notamment ou dans le cas où votre mode de vie vous permettrait de vous exposer au soleil quasiment tout au long de l’année.
Ensuite, on identifie les protections qualifiées de moyenne qui vont de 15 à 25 en passant par 20. Celles – ci sont également déconseillés en première étape d’exposition. Considérés par certains comme de la haute protection, il n’en est rien en réalité, elles ont plutôt vocation à intervenir lorsque la couleur de votre peau a déjà été un peu caramélisée par le soleil.
Enfin, et c’est celle-ci qui devrait apparaître sur toutes les peaux des plages de sable, de galets, mais aussi sur les chemins de randonnées par exemple, on évoque les hautes protections qui oscillent entre 30 et 50 et les très hautes protections qui surpassent l’indice 50.
Contrairement aux idées reçues, la couleur de la peau n’a aucun impact sur les potentielles brulures telles que les classiques coups de soleil, il est donc extrêmement important pour tout un chacun de crémer son corps avec une protection forte. N’oublions pas que dans les cas les plus graves, les rayons ultra violets peuvent entrainer des cancers de la peau.
